CINÉMA CONTEMPORAIN
Que poster ici ?
Le "cinéma contemporain" désignera pour nous le cinéma postérieur aux dernières grandes périodes esthétiques identifiées ou faisant consensus dans l'histoire du cinéma : c'est-à-dire tout ce qui vient après le Nouvel Hollywood, et plus généralement après la modernité. On se focalisera donc, dans ce dernier forum, sur les cinémas (courants, cinéastes, périodes...) qui se développent pleinement à partir des années 80.
Véritable auberge espagnole d'esthétiques et de tendances contradictoires (néo-classicisme, maniérisme, naturalisme, post-modernisme...), le cinéma contemporain fait preuve d'une extrême diversité géographique, et se trouve tardivement confronté au spectre de son déclin (concurrence des séries TV et des jeux vidéos, dissolution de la vision des films à travers divers supports, loin de l'exclusivité passée de la salle de cinéma). La période est également marquée par la transition vers le numérique, que ce soit du côté de la production (disparition de la pellicule, démocratisation des caméras et des tournages) ou de la diffusion (projection numérique en salle, essor du sVOD et du streaming), avec les conséquences esthétiques profondes que cela implique (disparition de l'effet de preuve du plan, hégémonie des effets spéciaux...).
Voici quelques exemples de cinémas concernés :
Production asiatique
Si la période classique fut marquée par l'hégémonie d'Hollywood, et la modernité par la domination culturelle de l'Europe, le cinéma contemporain semble lui plutôt être l'ère du cinéma asiatique ; pas seulement parce qu'on le re-re-redécouvre alors en Occident (l'influence des cinémas d'orient se fait alors visible jusque dans les blockbusters US), mais aussi pour les âges d'or qui s'enchaînent sans discontinuer sur le continent à partir des années 80.
Chine continentale : on peut démarrer la période contemporaine chinoise avec la cinquième génération de cinéastes (Chen Kaige, Zhang Yimou, Tian Zhuangzhuang...) formés au sortir de la révolution culturelle, qui se distinguent par une capacité à regarder le proche passé du pays en face, par une forte puissance picturale, et par une reconnaissance critique internationale. L'académisme et le pompiérisme latent de certains de ces films pose aussi les graines de ce que sera, dans les années 2000-2010, le blockbuster chinois... Suit la sixième génération de réalisateurs (à partir des années 2000), qui fait un cinéma beaucoup moins populaire, davantage influencé par le voisin taïwanais, caractérisé par des tournages pauvres (voire clandestins), par une vibration documentaire, et par un portrait post-apocalyptique du pays à l'heure de la mondialisation (cinéastes : Jia Zhang-ke, Wang Bing, Diao Yi'nan, Lou Ye, Wang Xiaoshuai...)
Taïwan : la "nouvelle vague taïwanaise", inaugurée en 1982, constitue une césure très lisible pour débuter la période contemporaine à Taïwan. Elle concerne des réalisateurs au cinéma lent, observateur, d'inspiration moderne, qui domineront les vingt années suivantes (Hou Hsiao-hsien, Tsai Ming-liang, Edward Yang, Ang Lee...)
Hong-Kong : contrairement aux deux autres cinéma chinois, le cinéma hong-kongais des années 80 est marqué par une certaine continuité. Les années 70 sont la véritable période de transformation (passage de la domination du mandarin au cantonais, de la Shaw Brothers à la Golden Harvest...), mais ce sont les années 80 qui en cueilleront les fruits. Une "nouvelle vague" (encore une) de jeunes cinéastes vont alors renouveler le cinéma national, que ce soit du côté des genres (Tsui Hark, John Woo, Johnnie To...), ou d'un cinéma plus auteuriste (Ann Hui, Stanley Kwan, Wong Kar Wai...).
Japon : les années 70 au Japon sont celles de la chute des studios, qui essaient de rattraper leur public par la production de nombreux films de genre (notamment érotiques). On peut considérer que la période contemporaine s'ouvre sur leur défaite, au moment où quelques nouveaux cinéastes reconstruisent sur le champ de ruines (Shinji Sōmai, Takeshi Kitano), avant de laisser place dans les années 90 à un cinéma d'auteur plus délicat, porté sur la chronique (Hirokazu Kore-eda, Naomi Kawase, Shinji Aoyama, Nobuhiro Suwa...). S'y adjoignent quelques nouveaux talents du côté du genre (Shinya Tsukamoto, Hideo Nakata, Kiyoshi Kurosawa, Takashi Miike...) et surtout du côté de l'animation, qui connaît alors son âge d'or (Hayao Miyazaki, Isao Takahata, Mamoru Oshii, Satoshi Kon, Katsuhiro Ōtomo). Tous ces films provoquent un regain d'intérêt à l'international pour le cinéma japonais, qui se fait cependant moins lisible dans les années 2000-2010, éparpillé en cinéastes hétéroclites et parfois inégaux (Sono Sion, Ryūsuke Hamaguchi, Mamoru Hosoda, Makoto Shinkai...).
Corée du Sud : on peut démarrer la période coréenne contemporaine autour des années 1984-1986, quand le pouvoir permet la production de films indépendants, desserre l'étau de la censure, et augmente le quota d'import de films étrangers. Im Kwon-taek, dont la carrière est déjà bien avancée, est le cinéastes majeur de cette première période (permettant à la Corée du Sud une visibilité en festivals internationaux). Mais l'âge d'or du nouveau cinéma coréen arrive surtout à la fin des années 90, partagé entre films de genres virtuoses et volontiers grotesques, adeptes des mélanges de tons (Bong Joon-ho, Park Chan-wook, Kim Jee-woon, Na Hong-jinn, Im Sang-soo...), et un cinéma d'art et d'essai plus intimiste (Hong Sang-soo, Lee Chang-dong...), alors que les mélodrames dominent le box-office local.
Cinéma indien : pour le novice que je suis en la matière, l'histoire récente du cinéma indien est difficile à démêler. Si les années 90 vivent une rupture visible avec l'internationalisation (arrivée de MTV, occidentalisation des films), plusieurs transformations semblent avoir lieu dès les années 80 : retour des comédies romantiques et familiales, essoufflement du modèle viriliste des années précédentes, pouvoir grandissant des pôles de production alternatifs à Bombay... La période est d'autant plus difficile à découper qu'à côté du cinéma grand public (Ram Gopal Varma, Mani Ratnam, Sanjay Leela Bhansali, Anurag Kashyap...) continue à se manifester un cinéma plus auteuriste (Mira Nair, Rituparno Ghosh...) voire tout à fait rattachables à la modernité (Adoor Gopalakrishnan), avec leurs évolutions propres. Bref, vos retours sont bienvenus pour savoir comment départager les films indiens des années 80 entre ce forum et le précédent !
Asie du Sud-Est : j'ignore les mouvements d'ensemble internes à ces cinématographies (n'hésitez pas à compléter), mais la région voit en tout cas apparaître des cinéastes isolés applaudis en festival tout au long des années 2000 à 2010 : d'abord Tran Anh Hung dans les années 90 (Vietnam), puis Brillante Mendoza et Lav Diaz (Phillipines), Eric Khoo (Singapour), Rithy Panh (Cambodge), Apichatpong Weerasethakul (Thaïlande)... Le moment de césure "contemporain" est à discuter au cas par cas (voir par exemple le cas ambigu de Mike de Leon au Phillipines, qui fait le principal de sa carrière dans les années 80).
Production États-Unienne
Si l'on veut d'abord lire la période contemporaine comme l'avènement d'un cinéma néo-classique (qui met notamment fin à la scission entre "auteurs" et cinéma populaire), Hollywood en serait alors l'indéniable le fer de lance. La période est plutôt homogène, mais peut néanmoins être découpée autour de ses différentes présidences, dans l'idée d'en percevoir les grandes étapes* :
Période Reagan / Bush Sr. : le début de la période néoclassique peut s'assimiler aux premiers blockbusters (Les Dents de la mer en 1975, Star Wars en 1977), et au retour d'une Amérique triomphante ayant tourné la page du Watergate et du Vietnam (signant, par là-même, la fin des doutes du Nouvel Hollywood). Le blockbuster va régner dans les années 80, marqué par un certain sens du clinquant (émergence de Jerry Bruckheimer, de Ridley Scott...), mais aussi par le triomphe familial de la société Amblin.
Période Clinton : les années 90 sont marquées par l'explosion des indépendants (c'est par exemple l'ère de Miramax et des frères Weinstein, des succès cannois de Tarantino et de Soderbergh...). Le blockbuster est alors caractérisé par l'hypertrophie (Michael Bay, Roland Emmerich).
Période Bush Jr. : la période des années 2000 est marquée par le traumatisme du 11 septembre. Retour du doute (avec notamment une vague de films marqués par l'héritage des années 70), et résurgence en contrecoup de la fantasy. Ce sont les débuts de l'âge d'or des séries TV américaines.
Période Obama / Trump : Le film de super-héros devient le genre Hollywoodien dominant, et convertit avec lui Hollywood au système des franchises, épousant par là-même les modes de narration des séries TV, qui sont devenues un sérieux concurrent. Dans une course en avant comblant le déficit en croyance par une esthétique de l'abondance et de la dépense, les effets spéciaux deviennent omniprésents dans le cinéma grand public. L'arrivée de Netflix, enfin, remet en cause les modes de diffusion.
Cinéastes : sur plus de 40 ans et pour une période aussi active, les noms importants se comptent par dizaines, et le choix qui suit sera forcément arbitraire. On peut néanmoins citer, dans l'ordre sommaire de leur apparition, quelques cinéastes "balises" de la période contemporaine. Côté studios : Clint Eastwood, Steven Spielberg, Michael Mann, James Cameron, John McTiernan, Tim Burton, David Fincher, M. Night Shyamalan, Pixar, Christopher Nolan... Côté indépendants : Terrence Malick, Woody Allen, David Lynch, Joel et Ethan Coen, Gus Van Sant, Abel Ferrara, Quentin Tarantino, Paul Thomas Anderson, Wes Anderson, Kelly Reichardt...
* Un grand merci à Qui-Gon Jinn du forum FDC pour la proposition et le descriptif de cette découpe !
Production Européenne
La période contemporaine, en Europe, naît du traumatisme de l'effondrement du cinéma italien. Le paysage qui se reconfigure durant ces années 80 va faire du naturalisme l'esthétique phare du cinéma d'auteur européen (notamment par l'intermédiaire de la France, où le système de financement permet de conserver une production soutenue), alors que le cinéma populaire peine à se trouver des incarnations de qualité.
France : difficile de tracer un début clair à la période contemporaine. On pourrait considérer que Pialat l'initie, en partie, tant le naturalisme intimiste qui règne ensuite sur le cinéma français semble relever de son héritage. Les années 80 et 90 sont encore occupées par les grands cinéastes populaires des années 70 (Tavernier, Blier, Sautet...), suivis par de nouveaux cinéastes tentant, avec plus ou moins de réussite, de concilier grand public et ambition artistique (Miller, Jeunet, Audiard, Salvadori, Klapisch, Hazanavicius...), aux côtés de projets plus franchement commerciaux aux résultats mitigés (Besson, Annaud). C'est du côté du cinéma d'auteur plus confidentiel que la plupart des cinéastes marquants de la période sont donc à trouver : Téchiné, Carax, Desplechin, Denis, Kechiche, Dumont, Guiraudie, Noé, Sciamma...
Royaume-Uni : autour de la figure imposante de Ken Loach (un cinéaste naturaliste là encore, quoique plutôt sur le versant social), le cinéma anglais contemporain se partage entre la création d'un genre cinématographique mondialement populaire (le feel-good movie, avec pour figure de proue le scénariste Richard Curtis), et une multitude de cinéastes notables mais aux cinémas et esthétiques isolées (Danny Boyle, Peter Greenaway, James Ivory, Aaardman, Andrea Arnold...), et aux carrières d'ailleurs souvent réduites à un ou deux films majeurs (Martin Rosen, Bill Douglas, Terence Davies, Sally Potter).
Italie : s'il n'est plus que l'ombre de lui-même, le cinéma italien contemporain continue à proposer, sporadiquement, des cinéastes notables - sans pour autant créer de mouvement d'ensemble. On peut notamment citer Nanni Moretti, Roberto Benigni, Marco Tullio Giordanale, Emanuele Crialese, Paolo Sorrentino, Alice Rohrwacher - et le renouveau de la fin de carrière Marco Bellocchio.
Roumanie : les années 2000 sont l'occasion d'un petit âge d'or du cinéma roumain, qui se penche sur son passé communiste avec férocité, mêlant l'esthétique naturaliste aux formes du thriller ou de la comédie noire. On peut démarrer la période contemporaine à la chute de Ceaușescu (avec Lucian Pintilie, qui préfigure l'âge d'or qui suivra vingt en plus tard), puis dans les années 2000 avec des cinéastes comme Cristi Puiu, Cristian Mungiu, Andrei Ujica, Corneliu Porumboiu...
Russie : on peut démarrer la période contemporaine russe un peu avant la chute du mur, en 1985, avec le cinéma de la Perestroïka (qui reconfigure la production en tentant de mettre fin aux commandes d'État), et des cinéastes comme Elem Klimov ou Vitali Kanevski. Durant la reconstruction post-soviétique difficile qui lui succède apparaîtront quelques cinéastes importants (Pavel Lounguine, Alexandre Sokourov, Andreï Zviaguintsev, Alexandre Petrov...), ainsi que des fins de carrières notables (Nikita Mikhalkov, Alexeï Guerman), et de jeunes espoirs (Timur Bekmambetov, Andreï Kontchalovski, Kantemir Balagov, Kirill Serebrennikov...).
Dans le reste de l'Europe : le cinéma européen contemporain est majoritairement le fait de cinéastes célèbres isolés, plutôt que de cinématographies à l'identité forte. Aux tentatives de grandes productions trans-européennes (les "euro-puddings" sans grand succès) succèdera une simple logique de coproductions, de circulation en festivals, ou de déplacement des cinéastes vers la France (Haneke, Kieślowski), ou sur des tournages internationaux en langue anglaise (Refn, Von Trier, Lánthimos). On peut citer, parmi les cinéastes européens importants de la période (presque tous affiliés au cinéma d'auteur) : Pedro Almodóvar, Alejandro Amenábar, Bigas Luna (Espagne, où se joue aussi dans les années 2000 un petit renouveau de cinéma d'horreur), Miguel Gomes (Portugal), Michael Haneke (Autriche), Maren Ade et Christian Petzold (Allemagne), Jean-Pierre et Luc Dardenne (Belgique), Lars Von Trier, Nicolas Winding Refn et Thomas Vinterberg (Danemark, où à lieu le mouvement du "dogme 95"), Lasse Hallström, Roy Andersson et Ruben Östlund (Suède), Aki Kaurismäki (Finlande), Krzysztof Kieślowski (Pologne), Emir Kusturica (Yougoslavie), Theo Angelopoulos et Yórgos Lánthimos (Grèce), Béla Tarr (Hongrie), Sergei Loznitsa (Ukraine)...
Dans le reste du monde
Plusieurs cinématographies d'Afrique et du Moyen-Orient, d'Amérique Latine ou d'Océanie marquent également la période. Dans l'ordre de leurs âge d'or...
Australie et Nouvelle-Zélande : bien que la renaissance du cinéma australien débute dès les années 70 (sous l'impulsion d'aides gouvernementales), le véritable essor a lieu dans les années 80, et se présente comme un cinéma de style néo-classique (malgré ses accointances avec l'exploitation). Pour ne pas artificiellement découper ce mouvement entre deux forums, considérons qu'ont leur place sur ce forum "Cinéma contemporain" tous les cinéastes australiens apparus avec cette mouvance ou ensuite (Peter Weir, George Miller, John Hillcoat, Scott Hicks, Paul John Hogan, Gillian Armstrong, Baz Luhrmann, Phillip Noyce, Fred Schepisi...), y compris pour leurs films des années 70. De même pour les cinéastes néo-zélandais (Jane Campion, Peter Jackson, Vincent Ward, Lee Tamahori, Roger Donaldson, Geoff Murphy...), dont le renouveau débute de manière plus lisible en 1977.
Canada : plutôt qu'un mouvement identifiable (quoiqu'on ait pu parler dans les années 80, dans le sillon de Cronenberg, d'une "Nouvelle vague Ontarienne"), le cinéma Canadien contemporain est plutôt l'affaire de quelques cinéastes importants et isolés : David Cronenberg, Atom Egoyan, Guy Maddin, et Denis Villeneuve côté anglophone ; Denys Arcand et Xavier Dolan côté québecois.
Iran : l'Iran est l'un des cinémas majeurs de la période. À partir de la fin des années 80 apparaît un groupe de cinéastes d'héritage moderne (que ce soit par la veine néoréaliste, ou par des jeux de faux-semblants et de mise en abîme avec le réel) : Abbas Kiarostami, Jafar Panahi, Mohsen Makhmalbaf, Bahram Beyzai, plus tardivement Bahman Ghobadi... Récemment, la figure d'Asghar Farhadi (et du cinéma plus narratif qu'il initie) a pris le relai.
Argentine : ce qu'on a parfois appelé le "second nouveau cinéma argentin", apparaissant dans les années 2000 au moment de la crise politique nationale, concerne plusieurs cinéaste à la fois jeunes, et en même temps assez vieux pour avoir connu la dictature. Derrière Lucrecia Martel et Lisandro Alonso, incontestable chefs de file de cette période, on peut aussi citer des cinéastes comme Fabián Bielinsky. Notons cependant qu'entre la fin de la dictature (1983) et l'avènement de cette mouvance, le cinéma argentin a connu une période "post-junta cinema" avec quelques films notables (par exemple le très diffusé L'Histoire officielle de Luis Puenzo en 1985, ou encore les films de Fernando Solanas).
Autres pays : on peut également, en vrac, citer des périodes d'activité notable au Mexique (Alejandro González Iñárritun, Carlos Reygadas...), au Brésil (Walter Salles, Fernando Meirelles, Kleber Mendonça Filho...), au Chili (Patricio Guzmán, Pablo Larraín...), en Israël (Amos Gitaï, Ari Folman, Nadav Lapid, Avi Mograbi, Shlomi et Ronit Elkabetz...) et en Palestine (Elia Suleiman), en Turquie (Yılmaz Güney, Nuri Bilge Ceylan...), ainsi que divers cinéastes disséminés en Afrique : Mahamat Saleh Haroun (Tchad), Abderrahmane Sissako (Mauritanie), ou encore Tariq Teguia (Algérie).
Pour les cas ambigus, quelque soit le pays ou le continent, se reporter aux section dédiées dans les "Que poster ici ?" des forums "Cinéma moderne" et "Autres cinémas d'après guerre" !
Pensez à faire des topics spécifiques !
Si Cinestudia se développe, ce forum "Cinéma contemporain" est amené à être décomposé en forums plus spécialisés, comme vous les voyez ci-dessus. Il faudra alors dispatcher les sujets qui y ont déjà été postés... Essayez donc, dans la mesure du possible, de créer des topics au sujet spécifique (par exemple : Les héritiers directs du studio Ghibli
plutôt que Le cinéma japonais contemporain
...), et de bien renseigner l'étiquette du pays concerné.
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